Coopérer? Quelques interrogations
Dans quels lieux et quels espaces coopérons-nous? Au travail, en formation, dans la vie publique, dans la vie privée? Les communications quotidiennes ne sont-elles pas des exercices de coopération?
La coopération est-elle une intention d’acteurs ou un outil d’analyse des rapports sociaux? Est-elle une réalité obligée ? Quel rapport entretient la notion de coopération avec les notions d’interactions, d’interactivités, de couplage d’activités, de rencontre d’activités, de chorégraphie d’activités? Quelle connaissance ont de la coopération ceux qui coopèrent ? Peuvent-ils analyser leurs pratiques de coopération et les resituer dans l’ensemble de leur activité?
Quels rapports existent-ils entre coopération et dynamiques de transformation ? La coopération transforme-t-elle l’action individuelle et/ou collective, transforme-t-elle les sujets individuels et collectifs qui coopèrent? La coopération construit-elle ou co-construit-elle des groupes, des collectivités, des communautés? A-t-elle un effet de dynamique et de cohésion ? La coopération transforme-t-elle l’activité et le travail ?
Dans quelles circonstances et à quelles occasions voit-on émerger des dynamiques de coopération? Comment s’engage-t-on dans la coopération ? Quels effets produit-elle, prévus, désirés, pervers? Quels en sont les enjeux?
Pourquoi parle-t-on de coopérer? A quelles fins ? Quels en sont les discours d’accompagnement? Quels liens observe-t-on entre le discours sur la coopération et d’autres cultures d’action économique et sociale?
Quelles configurations d’acteurs réunit la coopération? Interaction duelle et/ou plurielle ? Quel sens donner à la coopération internationale?
Quelle place pour la subjectivité et l’intersubjectivité dans la coopération? La coopération expose-t-elle au regard d’autrui? La coopération peut-elle être une expérience de plaisir et/ou de souffrance?
Quelles sont les voies et moyens de la coopération? Quelle place aux voix d’acteurs, aux positions qu’ils occupent, aux rapports qu’ils entretiennent? La coopération transforme-t-elle ou est-elle transformée par les communications entre acteurs ?
Peut-on professionnaliser la coopération? La coopération peut-elle être considérée comme une expérience? Y-a-t-il des cultures de la coopération ? Des habitudes, des attitudes, des compétences inhérentes à la coopération ? Quid de son évaluation, de son ou analyse?
La place et la visibilité de la coopération a évolué au cours du temps et varié d’un pays à l’autre. Y-a-t-il une histoire et une géographie des pratiques et des discours de coopération ? Comment les analyser et les interpréter?
La coopération est-elle une intention d’acteurs ou un outil d’analyse des rapports sociaux? Est-elle une réalité obligée ? Quel rapport entretient la notion de coopération avec les notions d’interactions, d’interactivités, de couplage d’activités, de rencontre d’activités, de chorégraphie d’activités? Quelle connaissance ont de la coopération ceux qui coopèrent ? Peuvent-ils analyser leurs pratiques de coopération et les resituer dans l’ensemble de leur activité?
Quels rapports existent-ils entre coopération et dynamiques de transformation ? La coopération transforme-t-elle l’action individuelle et/ou collective, transforme-t-elle les sujets individuels et collectifs qui coopèrent? La coopération construit-elle ou co-construit-elle des groupes, des collectivités, des communautés? A-t-elle un effet de dynamique et de cohésion ? La coopération transforme-t-elle l’activité et le travail ?
Dans quelles circonstances et à quelles occasions voit-on émerger des dynamiques de coopération? Comment s’engage-t-on dans la coopération ? Quels effets produit-elle, prévus, désirés, pervers? Quels en sont les enjeux?
Pourquoi parle-t-on de coopérer? A quelles fins ? Quels en sont les discours d’accompagnement? Quels liens observe-t-on entre le discours sur la coopération et d’autres cultures d’action économique et sociale?
Quelles configurations d’acteurs réunit la coopération? Interaction duelle et/ou plurielle ? Quel sens donner à la coopération internationale?
Quelle place pour la subjectivité et l’intersubjectivité dans la coopération? La coopération expose-t-elle au regard d’autrui? La coopération peut-elle être une expérience de plaisir et/ou de souffrance?
Quelles sont les voies et moyens de la coopération? Quelle place aux voix d’acteurs, aux positions qu’ils occupent, aux rapports qu’ils entretiennent? La coopération transforme-t-elle ou est-elle transformée par les communications entre acteurs ?
Peut-on professionnaliser la coopération? La coopération peut-elle être considérée comme une expérience? Y-a-t-il des cultures de la coopération ? Des habitudes, des attitudes, des compétences inhérentes à la coopération ? Quid de son évaluation, de son ou analyse?
La place et la visibilité de la coopération a évolué au cours du temps et varié d’un pays à l’autre. Y-a-t-il une histoire et une géographie des pratiques et des discours de coopération ? Comment les analyser et les interpréter?